Suite à une publication de
Dramé Edson Arantes DoNacimento, son congénère
Raymond-Marie Augustin Gnimassou a apporté une réponse. Nous vous invitons de lire.....
2- Réponse de Raymond-Marie Augustin Gnimassou
Je préfère y voir quelqu'un qui a de l'expérience et de la trempe. La
jeunesse n'est pas un gage d'efficacité, encore moins de probité.
Ce qu'il nous faut, c'est quelqu'un qui a une bonne expérience en santé
publique, des entrées dans la jungle des institutions qui nous appuient,
l'expérience de la gestion, la rigueur et l'intégrité morale. Il faut aussi que
la personne soit capable de dire non au pouvoir politique pour préserver l'intérêt
de la santé publique et des patients. Il nous faut quelqu'un qui ait les
épaules suffisamment larges pour recevoir stoïquement les nombreuses critiques
de personnes souvent bêtes et méchantes, envieuses et jalouses sûrement et
souvent téléguidées par des intérêts ethnostrategiques et politiques.
Il faut quelqu'un capable de rassurer une population qui souhaite une
fin rapide (voire immédiate) de l'épidémie alors que tout le monde sait que
nous avons à faire face à une épidémie longue, qui durera plusieurs mois
encore.
Si j'avais la possibilité de proposer
quelqu'un, mon choix se porterait sur PROFESSEUR OUMOU YOUNOUSSA BAH SOW, en
reconnaissant qu'il y a certainement plusieurs autres potentiels candidats,
mais je connais malheureusement peu les cadres de la santé.
Voyons ensemble sa biographie ci-dessous :
Pr Oumou Younoussa Bah-Sow est professeure de